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PRIME CUT - Numéro 1 - Spéciale Michael Winner

Éditeur : The Ecstasy of Films - 25 novembre 2021
Langue : Français
Nombre de pages : 228 pages
 
Prime Cut N°1 sera majoritairement consacré au réalisateur britannique Michael Winner (1935-2013). Ce metteur en scène quasi-unanimement honni par la critique a pourtant bâti une filmographie passionnante. Durant sa jeunesse, dans les années 60, il porte un regard singulier sur le « Swinging London », en particulier à travers une trilogie constituée de West 11, Dans les mailles du filet et Qu'arrivera-t-il après ? dans laquelle apparaît à deux reprises l’un de ses interprètes fétiches : Oliver Reed. Durant les années 70, il part travailler aux USA et signe quelques pépites comme L’Homme de la loi avec Burt Lancaster, Le Flingueur avec Charles Bronson, Scorpio avec Alain Delon et La Sentinelle des maudits avec Ava Gardner. Sa carrière est jalonnée de scandales, en particulier avec la série des Justicier dans la ville et son adaptation controversée du brûlot féministe d’Helen Zahavi : Dirty Week-end.

Pour résumer, l’œuvre du provocateur Michael Winner va du film social « Made in UK », aux classiques du cinéma de genre tournés dans un Hollywood permissif. Toutes ces caractéristiques ont poussé notre rédaction à se pencher sur cette filmographie qui sent le soufre. Nous sommes également allés à la rencontre des rares défenseurs de Michael Winner : le critique de cinéma Samuel Blumenfeld (Le Monde), le directeur du cinéma d’Arte Olivier Père ainsi que le réalisateur et historien du cinéma, Jean-Baptiste Thoret qui, à travers sa collection Make My Day (Studiocanal) a permis au public français de découvrir West 11. Le metteur en scène de Charles Bronson, Il était une fois en Europe, Jérôme Wybon, complète notre liste d’interviewés prestigieux. Pour la rédaction de Prime Cut, il s’agit d’une évidence : Michael Winner est un cinéaste de talent à réhabiliter de toute urgence!

Dans le reste du mook, vous retrouverez l’écrivain Brian Garfield, le musicien Jerry Fielding, la star déchue Jan-Michael Vincent, le cinéaste Alain Mazars, le mystérieux acteur Eugène Deckers, le réalisateur George Bowers (The Hearse), le maestro Dario Argento et plein d’autres surprises. Ce sommaire varié n’aura pour but que de défendre une autre vision de la cinéphilie. Prime Cut sera une revue ouverte dans laquelle la censure et l’hypocrisie n’auront pas leur place. D’ailleurs, le prochain numéro sera consacré à un cinéaste français qui a souvent eu maille à partir avec Dame Anastasie : Yves Boisset. La rédaction de Prime Cut est, à l’image de sa ligne éditoriale, composée d’auteurs venus d’horizons divers.